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LUMIERE DIVINE ET ARTISANS DE LUMIERE
30 juillet 2012

LES CHATS : D'AUTENTHIQUES MEDIUMS !

lundi 30 juillet 2012

Marie Hélène Dourte

Tout le monde s’accorde à dire que les chats sont médiums. Ils ont cette faculté de voir ce qui est invisible à nos yeux de chair. Mais tout d’abord, qu’est-ce qu’un médium ? On pourrait donner la définition suivante : « un médium est un être sensible à des influences ou à des phénomènes non perceptibles par les cinq sens. Les médiums sont ainsi capables de percevoir les manifestations de l’au-delà ou des esprits »…
Alors, votre chat est-il médium ? L’avez-vous déjà surpris en train de regarder en l’air et de suivre du regard avec insistance ou parfois avec méfiance  « quelque chose ou quelqu’un » d’invisible ? L’avez-vous déjà vu « souffler », se fâcher contre « on ne sait quoi » ? Avez-vous déjà remarqué chez lui un comportement d’évitement systématique de certaines pièces de votre maison ? L’avez-vous déjà surpris en train de se tortiller de plaisir sous la caresse d’une main invisible ? Si votre réponse est affirmative, alors vous côtoyez sans le savoir peut-être, un authentique médium, un être qui a cette faculté de voir ce que vous ne voyez pas… Notez bien que TOUS les chats sont médiums mais à des degrés divers, bien entendu. Certains sont plus « doués » que d’autres, évidemment… C’est pareil chez nous, les humains, nous avons tous des facultés médiumniques développées ou à l’état latent…
Voici une histoire authentique qui nous est arrivée en 2010. Les deux « héros » en sont notre chat Zéphyr et une « entité » qui « passait » chez nous. Lisez plutôt…
Témoignage de Vincent :

Première partie



Il est aux alentours de 21 heures 30’ en cette soirée du mardi 30 mars 2010. Marie-Hélène, mon épouse, et moi-même sommes tranquillement installés, elle à la table de la cuisine, visionnant un film sur son ordinateur portable, et moi dans le salon-bureau regardant un documentaire sur la chaîne Arte. A un certain moment, je me lève de mon fauteuil afin d’aller chercher une boisson dans le frigo. A peine ai-je entrouvert la porte coulissante séparant le salon-bureau de la cuisine, que je me retrouve face à face avec notre chat Zéphyr en train de s’amuser avec ses jouets. Zéphyr, âgé alors de dix mois, est un chat extraordinaire, un médium doté de facultés étonnantes doublé d’un compagnon d’une extrême gentillesse.
Ce qui va alors se passer au moment précis où nous nous retrouvons l’un devant l’autre relève de l’insolite. A peine le chat m’a-t-il aperçu, qu’il change immédiatement de comportement ; ses pupilles se dilatent instantanément, son pelage se hérisse, il se place en position d’attaque, il souffle, et puis gronde comme nous ne l’avions encore jamais entendu faire. Devant une telle attitude, sous l’effet de la peur ma première réaction est de reculer d’un pas. Mon étonnement était tel que je n’ai pas compris tout de suite ce qui se passait. Mais Marie-Hélène a immédiatement interprété la situation ; elle a réalisé qu’une entité, une personne disparue, un fantôme en quelque sorte, était tout contre moi, un peu comme accolé à mon corps physique. Ayant « ouvert les yeux »,  j’ai demandé à cette personne de se détacher de moi et de retourner dans l’autre pièce afin de permettre au chat de se calmer. Aussitôt, ce dernier s’est désintéressé de moi pour continuer son manège en fixant par la porte restée entrouverte, quelqu’un ou quelque chose à l’intérieur du bureau. Comme Zéphyr ne se calmait toujours pas, j’ai moi-même réinvesti le bureau et après avoir soigneusement fermé la porte coulissante, j’ai demandé à l’entité, sans bien me rendre compte de la portée de mes dires, d’attendre un moment, que je m’occuperais d’elle un peu plus tard si elle avait quelque chose à me dire ou à me demander.
La fin de la soirée s’est ensuite déroulée normalement, bien que Zéphyr, toujours sous le contrecoup de la frayeur, m’ait plus d’une fois regardé d’un œil torve, se demandant peut-être quelle mauvaise blague j’avais bien pu lui jouer.


Deuxième partie

Au moment de me coucher, ayant quasiment oublié l’incident de la soirée, j’ignore bien évidemment que je vais vivre au cours de cette nuit une nouvelle expérience étonnante. Ce n’est pas la première fois qu’il m’est donné, je dirais même permis, de vivre dans mon sommeil, durant mes voyages astraux, des rencontres extraordinaires.
En pleine nuit, je suis soudainement transporté à l’orée d’une forêt. A ma gauche, il y a un petit promontoire rocheux ; je me tiens là, debout devant quelques grands arbres, des sapins dont je vois surtout les fûts grisâtres. Le ciel est plombé comme avant une forte averse, et la luminosité rappelle celle des jours brouillardeux de l’automne. Je ne sais pas où je me trouve, je n’éprouve aucune crainte, bien que l’endroit, sans être vraiment sinistre, ne sois pas des plus accueillant. Tout à coup, j’aperçois sur ma droite à une vingtaine de mètres de moi, plusieurs personnages cheminant sur ce qu’il me semble être un chemin ondulant à travers les arbres tout en montant légèrement vers la gauche pour disparaître derrière le rocher. Ces personnages sont séparés en trois groupes ; il y a d’abord deux femmes qui semblent en grande discussion, ensuite vient une autre personne qui avance seule tout en fixant le sentier, paraissant perdue dans ses pensées, et enfin un dernier groupe de trois personnes dans lequel j’identifie deux hommes et une femme et qui sont eux aussi en conversation. J’ai la nette impression que les individus que je vois font partie d’une longue file ininterrompue de gens qui montent d’un endroit situé sur ma droite pour se rendre dans un lieu situé plus en hauteur sur ma gauche. La personne marchant seule arrive au centre de « ma fenêtre » ; sa démarche et sa silhouette me semblent familières, et tout à coup je reconnais une amie décédée une quinzaine de jours auparavant après une pénible agonie dans un hôpital. Elle est vêtue d’un vêtement d’apparat et porte le petit couvre-chef assorti, tenue exactement semblable à celle qu’elle portait lors des réunions de l’association à laquelle elle a appartenu durant de longues années.
Ne me rendant pas encore compte de l’endroit où je me trouve, je me pose les questions suivantes : « Mais, c’est Germaine (prénom d’emprunt afin de garantir son anonymat) que j’aperçois là au milieu de tous ces gens ! Que fait-elle ici, et comment peut-elle être là, debout devant moi, alors qu’elle est décédée depuis deux semaines ? » A ce moment précis, tout en continuant à marcher, Germaine relève la tête, se tourne légèrement vers la gauche et m’adresse un salut en balançant son visage d’avant en arrière, une seule fois sans prononcer un mot. Très élégante comme d’habitude, et arborant un léger sourire, elle ne semble pas du tout surprise de me voir dans cet endroit. Sa figure reflète une certaine sérénité, cependant doublée d’un scepticisme confinant à l’étonnement de se trouver elle, dans un environnement dont elle ne soupçonnait pas l’existence lorsqu’elle vivait sur la Terre.
Je comprends alors instantanément que je suis dans l’au-delà et qu’il vient de m’être donné d’assister au départ de Germaine pour le royaume des morts, après avoir séjourné deux semaines de temps terrestre dans un plan intermédiaire, où elle a vraisemblablement été préparée pour le grand départ. Absorbé dans mes pensées, je suis toujours là, debout à proximité du promontoire à l’orée de la forêt ; Germaine a de nouveau baissé la tête et continue son petit bonhomme de chemin, suivie par les trois personnages du groupe suivant. Déjà, elle s’apprête à disparaître de mon champ de vision, derrière le duo qui la précédait, lorsque je suis rappelé dans notre réalité dimensionnelle en me réveillant brusquement.

Troisième partie

Immédiatement, je repense à l’extraordinaire rencontre que je viens de vivre. Je suis très ému d’avoir revu Germaine, et en même temps, je prends la mesure du véritable cadeau que les instances supérieures m’ont offert en ouvrant pour moi une fenêtre sur l’au-delà et en autorisant ces retrouvailles. Dans le scénario qui vient de se dérouler, tout avait été mis en place afin que Germaine et moi nous retrouvions l’espace d’un instant. J’étais au bon endroit exactement au moment de son passage, et Germaine, qui était une dame d’un grand âge, puisqu’elle devait bientôt fêter ses 92 printemps, s’est tout naturellement présentée à moi sous l’aspect âgé que je lui connaissais afin que je puisse la reconnaître aisément.
C’est alors que je repense à l’épisode de la soirée précédente, et soudain je comprends que l’entité qui a été à l’origine des réactions de Zéphyr était Germaine qui souhaitait nous dire au revoir avant de partir dans le royaume des morts, et peut-être, qui sait, m’informer de la rencontre qui se préparait.




Pour les joindre
mariehelene.dourte@scarlet.be ou
vincent.cheppe4@swing.be


À suivre - Une série originale remise à LaPresseGalactique.com par l'auteur

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